mardi 30 novembre 2010
jeudi 18 novembre 2010
Une nuit et une journée d'émotion

J'ai passé ma nuit en chambre mère-enfant, auprès de mon bébé, une nuit où je n'ai pas beaucoup dormi. Pas parce que mon bébé m'en aurait empêché tout simplement parce que je ressentais un mélange de sentiments, un sentiment bizarre de ne pas dormir chez moi auprès de mes deux grands garçons et de mon homme et un sentiment d'excitation, celui de dormir tout près de mon bébé, d'être réveillé par lui et de vivre à son rythme.
Puis en fin de matinée, nous avons appris que nous pouvions, si nous le voulions, rentrer ce jour chez nous, et sans aucune hésitation c'était un grand OUI.
Voilà c'était la fin d'un long séjour aux soins intensifs.
Un moment de très grand bonheur, récupérer notre fils, le câliner chez nous quand il le voudrait, quand nous le voudrons.
Mais en deux mois et demi, nous avons eu le temps de créer un lien avec les infirmières et les auxiliaires des soins intensifs, et j'étais émue aux larmes de les quitter, heureuse de récupérer mon fils, mais chamboulée de quitter des personnes d'une grande générosité.
J'ai trouvé (et Thierry aussi même s'il ne le dira jamais) auprès de ces personnes un soutien énorme, des conseils géniaux. Des discussions dans le box d'Imanol, des câlins et des bisous pour Imanol qui charmait ces dames et qui avait bien raison de le faire.
Il a été chouchouté, adoré, bisouté et moi j'étais une maman soulagée de le savoir dans leurs bras.
Alors, je sais qu'elles ont l'adresse de mon blog, et je voudrais simplement leur dire merci, merci pour ces deux mois et demi, merci pour ces discussions, merci pour le soutien quand Imanol souffrait, merci d'avoir positiver pour nous quand on avait du mal à le faire, merci pour cette énergie dont vous faites preuve, de la patience que vous avez avec ces bébés, vous avez un boulot supers durs à mes yeux mais vous le faites avec tant de naturel et de passion que je vous admire.
S'il y a bien une chose que je gardais précieusement dans mon coeur lors de notre passage chez vous, c'est ce lien (et les bons moelleux au chocolat et nutella que j'ai mangé !).
Merci encore et encore et des milliers de fois !
mercredi 17 novembre 2010
Mon job pendant plus d'un an : maman au foyer
dimanche 14 novembre 2010
mardi 9 novembre 2010
La chambre d'Imanol

Frise mural et stickers commandés chez la Fnac éveil et jeux.
Papa a fini les travaux de la salle à manger (manque plus que le canapé, mais je suis en grande négociation, car il ne veut pas de canapé dans la salle à manger, je vais y arriver en lui démontrant par a+b qu 'un canapé dans la salle à manger ça serait top), il va s'attaquer à la salle de bains (ensuite ce sera les chambres et en dernier MA cuisine). Moi je m'occupe de la décoration de la chambre d'Imanol :
- le lit : on a !
- commode : on a !
- plan à langer : on a !
- veilleuse : on a !
- doudous : on a !
- gigoteuse/nid d'ange : on a !
- décoration : on a, mais ce n'est pas encore posé !
PS : non non, la poule que vous voyez en dessous de la frise avec ses 3 poussins ce n'est pas moi !
lundi 8 novembre 2010
Merci
Il y a plus de deux mois, lors de mon échographie des 32 SA, nous avons appris que les intestins d'Imanol étaient beaucoup dilatés. Tout à été envisager : trisomie 21, mucoviscidose, pas d'anus, pas de rectum, tout comme ça n'aurait pu être rien.
Nous avons passé un IRM qui a confirmé l'échographie et là, le "rien" n'était plus envisageable.
Nous avons donc eu plusieurs rendez-vous, encore une échographie de contrôle, rendez-vous avec un généticien, rendez-vous avec le chirurgien pédiatrique.
Pour avoir une réponse définitive, nous devions attendre sa naissance.
Pendant ce temps-là, j'ai toujours espérer ce "rien".
Puis Imanol est né, notre bébé d'amour a pointé le petit bout de son nez à 40SA+2 jours.
Il a été opéré le lendemain de sa naissance, d'une atrésie (noeud/bouchon à l'intestin).
Il a porté une poche pendant presque 2 mois.
Un peu avant ses 2 mois, il a subi une seconde opération pour relier ses deux intestins.
Pendant 2/3 jours, il a été énormément douloureux, il hurlait de douleurs.
Puis, ça s'est remis peu à peu en place, il a recommencé à s'alimenter, tout doucement.
A ce jour il a toujours sa perfusion, pour combler ce qu'il ne prend pas encore entièrement avec ses biberons. Il est aussi toujours allaité à 100 %.
C'est un amour de bébé, il sourit, il gazouille, il "parle" à ses doudous, il est très éveillé, tient bien sa tête.
Pourquoi ce message me direz-vous maintenant que ça se remet en place, même si tout n'est pas gagné ?
Tout simplement pour vous remercier de votre soutien.
Quand tout allait mal, quand on commençait à ne plus avoir le moral, ou à perdre espoir, on a toujours eu votre soutien.
Quand je pleurais (parce que Thierry ne pleurait pas, je pleurais tellement pour deux lol) et que mon téléphone m'annonçait un sms, un message sur le répondeur, pour nous dire "Courage".
Quand j'ai pu pleurer par écrit, ou par oral, avec mes amies, ma famille qui ont su sécher mes larmes, me faire sourire, m'encourager, ou simplement me dire qu'elles pensaient bien à nous.
Pour tout cela, nous ne dirons jamais assez merci, merci pour Imanol, merci pour nous.
dimanche 7 novembre 2010
De nouvelles photos d'Imanol
Imanol a aussi beaucoup de mal à prendre le biberon, il est plus habitué au sein, ce qui ne va pas me déplaire puisque je souhaiterais qu'il soit à 100 % au sein à la maison, ça se passe tellement bien. Nous avons eu aussi une dérogation pour que je ramène mon lait congelé, et ça c'est super car il n'a pas de lait artificiel. Je ne suis pas une extrémiste de l'allaitement mais là je pense que pour son bien, le lait artificiel n'est pas adapté pour sa digestion et ses intestins, et on sait tous très bien que le lait maternel est le meilleur pour son bébé.
Mais je ne me prendrais pas la tête, si Imanol ne se plait pas au sein (ce qui pour le moment n'est pas le cas et je m'en réjouis), je ne le forcerais pas, j'irai à son rythme.
J'espère que ça ne sera qu'un mauvais souvenir et qu'on n'en parlera plus.
PS : il est beau mon doudou
vendredi 5 novembre 2010
jeudi 4 novembre 2010
mercredi 3 novembre 2010
Bébé Imanol dans sa balancelle

Aujourd'hui c'était la course, récupérer Vincent au foot, entre temps tirage de lait pour apporter à Imanol, partir sur Lyon pour récupérer la nouvelle voiture, petit passage au tatatatata (Mc Do selon Nathaël), revenir à la maison déposer ce petit monde, repartir aux soins intensifs sur Saint Etienne, que de kilomètres pour un petit moment de bonheur : tétée (notre petit bonhomme a eu ses rations augmentées, 50 ml et baisse de la perfusion), le bain, le massage, soins de sa cicatrice, gros gros gros câlins, et puis mon petit poussin a fini par s'endormir sa tête enfouie contre moi. Bah je pourrais en faire des milliers de fois des journées comme celle-ci.
samedi 30 octobre 2010
Un Papa merveilleux
vendredi 29 octobre 2010
Fière de mon allaitement
Mon petit doudou tout doux
samedi 23 octobre 2010
Opération d'Imanol

Elle s'est bien passée, il faut maintenant passer par la phase de réalimentation normale.
Mon doudou est encore douloureux, mais plus les jours passent et plus ça va.
Nous avons hâte maintenant de le voir se rétablir et de revenir définitivement à la maison avec lui, car la semaine prochaine il aura 2 mois et 2 mois sans avoir eu notre bébé à la maison c'est dur, très dur.
vendredi 10 septembre 2010
Naissance d'Imanol, mardi 31 août 2010 à 20h25
Nous avions laissé Vincent et Nathaël chez Mamie Francine, histoire que tu te décides de sortir à ce moment, ce qui nous aurait laissé le temps de nous organiser. Mais tu en as décidé autrement, tu as préféré attendre que tes grands-frères rentrent pour qu'on puisse se rencontrer.
Lundi 30 août : Vincent et Nathaël reviennent de 10 jours passés chez Mamie Papi. J'en suis à 40 sa +1 et je n'en peux plus, j'ai l'impression d'avoir un ballon tout rond à la place du ventre et tu as encore de la place pour bouger, tu ne t'en prives pas.
Mardi 31 août : 5h30, première contraction, rien de bien exceptionnel, je retourne me coucher mais à 6h30 je sens que ça se met en place, je me lève et là c'est bien pire, toutes les 5 minutes et elles seront de plus en plus forte. Papa décide donc de m'emmener à la maternité.
8h30 : arrivée à la maternité, il faut faire les étiquettes avant de monter en salle d'accouchement, heureusement que les contractions sont gérables, j'imagine la fille qui n'en peut plus et que c'est imminent, les étiquettes ça peut attendre. Avec Papa on a fait un pari, savoir mon niveau de dilatation, lui il dit 6, moi je dis 2. Et bien évidemment, the winner is ... tada ... Maman !
10h00 : la sage-femme me demande d'aller marcher pendant une heure pour faire descendre bébé. Ok ! On marche ? Non ! On piétine, les contractions sont de plus en plus intense, je sers la main de Papa dès que j'en ai une. De toute façon, sa pauvre main aura pris de sacrées coups pendant tout l'accouchement.
11h30 : on revient en salle de travail, dilatation à 3, et bien on risque d'y rester un bon moment.
Vers 12h30 on me passe en salle d'accouchement, je suis dilatée à 4 et pose de la péridurale, mais faible car je ressens les contractions, elles sont gérables.
Dilatée à 5, la Sage-Femme va me demande de me bouger d'un côté, de l'autre pour faire bouger bébé, toutes les 20 minutes, ce que nous ferons. Malheureusement, le cathéter de la péridurale se retire et le produit ne fait plus effet. En 5 minutes, je passe d'une dilatation à 5 sous péridurale à une dilatation à 8 sans péridurale et c'est là que le calvaire commence pour nous deux.
Je commence à hurler que j'ai très mal, je ne m'attendais pas à cette douleur aussi intense, mon ventre se durcie, on aurait dit une montagne pointue. Je commence à paniquer, et là c'est le trou noir.
Apparemment, nous avons fait une chute de tension tous les deux et la douleurs venaient dela rupture utérine ainsi qu'un cailleau de sang. Je sens qu'on me secoue, qu'on m'appelle "Madame ROST dites nous quelque chose", mais je n'y arrive pas, j'ai un masque sur le visage, j'ai l'impression que c'est un rêve, on m'appelle mais je n'arrive pas à articuler quoi que ce soit. Je me souviens juste penser à Vincent et Nathaël en train de jouer.
Pendant ce temps, l'anesthésiste essaie de me reposer la péridurale mais allongée ce n'est pas évident, ce qui me vaudra une brèche.
Alors il faut faire le dernier effort, pour toi, pour moi, se relever et s'asseoir, et pendant une demi-heure, après la pose de la péridurale, je serais assise me tenant les genoux, comme choquée par ce qui vient de se passer, je ne réalise plus rien, je n'ose même plus regarder ton Papa, tellement j'ai peur de lire dans ses yeux ce qu'il a vécu tout seul, car ils l'ont fait sortir plus d'une heure pour me calmer.
Je suis entièrement dilatée et on m'installe mais au moment de regarder comment tu es installée, la Sage-Femme me dit qu'on passe en césarienne, que tu n'es pas correctement. Avec Papa, on se regarde et on se comprend "Tout ça pour en arriver là", mais ce n'est la faute de personne, ni la tienne mon petit loulou, ni la mienne, c'est "comme ça".
Là, le protocole de la césarienne en urgence commence, et me voilà au bloc à 20 heures.
Tu es sortie très vite à 20h25, tu pesais 4kg375, mais je n'ai pas pu te voir de suite, car tu étais sonné, tu étais déjà engagé prêt à sortir naturellement et tu avais fait toi aussi de gros efforts dans cette aventure. C'est Papa qui t'a pris en photo pour me montrer ta petit bouille en salle de réveil. Tu étais déjà si beau.
Et te voilà parmis nous, la naissance d'un petit champion Imanol. Tu n'étais pas encore dans mon ventre que je t'aimais déjà. C'est comme si tu avais toujours fait partie de notre famille, comme si tu avais toujours été avec nous.
Avec les soucis de tes intestins, nous faisons le trajet tous les jours pour venir te voir à l'hopital, chaque seconde passée sans toi à nos côtés est un déchirement, et te voir, un grand moment de bonheur qui passe toujours trop vite. Mais nous t'aimons déjà tous très fort, et nous avons hâte que tu rentres à la maison, là où est ta vraie place, à nos côtés pour qu'on puisse, à chaque seconde, t'apporter tout l'amour et l'attention dont tu as besoin.
Je t'aime mon loulou.
Lundi 30 août : Vincent et Nathaël reviennent de 10 jours passés chez Mamie Papi. J'en suis à 40 sa +1 et je n'en peux plus, j'ai l'impression d'avoir un ballon tout rond à la place du ventre et tu as encore de la place pour bouger, tu ne t'en prives pas.
Mardi 31 août : 5h30, première contraction, rien de bien exceptionnel, je retourne me coucher mais à 6h30 je sens que ça se met en place, je me lève et là c'est bien pire, toutes les 5 minutes et elles seront de plus en plus forte. Papa décide donc de m'emmener à la maternité.
8h30 : arrivée à la maternité, il faut faire les étiquettes avant de monter en salle d'accouchement, heureusement que les contractions sont gérables, j'imagine la fille qui n'en peut plus et que c'est imminent, les étiquettes ça peut attendre. Avec Papa on a fait un pari, savoir mon niveau de dilatation, lui il dit 6, moi je dis 2. Et bien évidemment, the winner is ... tada ... Maman !
10h00 : la sage-femme me demande d'aller marcher pendant une heure pour faire descendre bébé. Ok ! On marche ? Non ! On piétine, les contractions sont de plus en plus intense, je sers la main de Papa dès que j'en ai une. De toute façon, sa pauvre main aura pris de sacrées coups pendant tout l'accouchement.
11h30 : on revient en salle de travail, dilatation à 3, et bien on risque d'y rester un bon moment.
Vers 12h30 on me passe en salle d'accouchement, je suis dilatée à 4 et pose de la péridurale, mais faible car je ressens les contractions, elles sont gérables.
Dilatée à 5, la Sage-Femme va me demande de me bouger d'un côté, de l'autre pour faire bouger bébé, toutes les 20 minutes, ce que nous ferons. Malheureusement, le cathéter de la péridurale se retire et le produit ne fait plus effet. En 5 minutes, je passe d'une dilatation à 5 sous péridurale à une dilatation à 8 sans péridurale et c'est là que le calvaire commence pour nous deux.
Je commence à hurler que j'ai très mal, je ne m'attendais pas à cette douleur aussi intense, mon ventre se durcie, on aurait dit une montagne pointue. Je commence à paniquer, et là c'est le trou noir.
Apparemment, nous avons fait une chute de tension tous les deux et la douleurs venaient dela rupture utérine ainsi qu'un cailleau de sang. Je sens qu'on me secoue, qu'on m'appelle "Madame ROST dites nous quelque chose", mais je n'y arrive pas, j'ai un masque sur le visage, j'ai l'impression que c'est un rêve, on m'appelle mais je n'arrive pas à articuler quoi que ce soit. Je me souviens juste penser à Vincent et Nathaël en train de jouer.
Pendant ce temps, l'anesthésiste essaie de me reposer la péridurale mais allongée ce n'est pas évident, ce qui me vaudra une brèche.
Alors il faut faire le dernier effort, pour toi, pour moi, se relever et s'asseoir, et pendant une demi-heure, après la pose de la péridurale, je serais assise me tenant les genoux, comme choquée par ce qui vient de se passer, je ne réalise plus rien, je n'ose même plus regarder ton Papa, tellement j'ai peur de lire dans ses yeux ce qu'il a vécu tout seul, car ils l'ont fait sortir plus d'une heure pour me calmer.
Je suis entièrement dilatée et on m'installe mais au moment de regarder comment tu es installée, la Sage-Femme me dit qu'on passe en césarienne, que tu n'es pas correctement. Avec Papa, on se regarde et on se comprend "Tout ça pour en arriver là", mais ce n'est la faute de personne, ni la tienne mon petit loulou, ni la mienne, c'est "comme ça".
Là, le protocole de la césarienne en urgence commence, et me voilà au bloc à 20 heures.
Tu es sortie très vite à 20h25, tu pesais 4kg375, mais je n'ai pas pu te voir de suite, car tu étais sonné, tu étais déjà engagé prêt à sortir naturellement et tu avais fait toi aussi de gros efforts dans cette aventure. C'est Papa qui t'a pris en photo pour me montrer ta petit bouille en salle de réveil. Tu étais déjà si beau.
Et te voilà parmis nous, la naissance d'un petit champion Imanol. Tu n'étais pas encore dans mon ventre que je t'aimais déjà. C'est comme si tu avais toujours fait partie de notre famille, comme si tu avais toujours été avec nous.
Avec les soucis de tes intestins, nous faisons le trajet tous les jours pour venir te voir à l'hopital, chaque seconde passée sans toi à nos côtés est un déchirement, et te voir, un grand moment de bonheur qui passe toujours trop vite. Mais nous t'aimons déjà tous très fort, et nous avons hâte que tu rentres à la maison, là où est ta vraie place, à nos côtés pour qu'on puisse, à chaque seconde, t'apporter tout l'amour et l'attention dont tu as besoin.
Je t'aime mon loulou.
lundi 7 juin 2010
Anniversaire de Thierry : 38 ans

Je n'ai pas de photo de mon homme en train de souffler ses 38 bougies mais voici une photo de son cadeau d'anniversaire. Et il a été gâté cette année mon homme, mais il en avait bien besoin.
Il n'aime pas parler de son âge mais il ne fait pas ses 38 ans, je n'ai pas l'impression que nous avons 10 ans d'écart.
Au final, plus les années passent et plus je l'aime, c'est indéfinissable.
Anniversaire de mon grand loulou : 6 ans déjà !



Déjà 6 ans que mon grand loulou est arrivé parmis nous. Il grandit si vite que j'aimerai que le temps défile un peu moins juste pour pouvoir en profiter un maximum.
Je me rappelle à chaque instant le moment de l'accouchement car c'est lui qui m'a fait devenir Maman, et un lien très particulier s'est créé entre nous.
Je t'aime mon grand garçon, tu es un grand garçon formidable !
dimanche 25 avril 2010
Merci à Sophie et Alain pour leur cadeau
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